Dans l'affirmation que la loi de Dieu ne peut pas être au-dessus de celle de la république, n'y a-t-il pas un mal entendu ?
La loi de Dieu est d'aimer et cela n'est ni au-dessus ni au-dessous des lois républicaines, c'est dans un autre domaine. Il serait peut-être plus juste de parler d'Appel de Dieu à l'Amour plutôt que de loi qui respecte nettement moins bien la liberté conséquence de cet Amour …
Par contre, le secret de la confession est un problème. Dans l'Evangile de St-Jean qui instaure le pardon des péchés, le secret n'est pas évoqué : c'est l'église qui l'a imposé rapidement semble-t-il. N'est-ce pas plus une sage règle disciplinaire de l'église plutôt qu'une loi divine ?