Si je m'interroge sur certaines interprétations (les chrétiens qui divergent des catholiques sont-ils forcément dans l'erreur ?), je suis surtout motivé par les questions sans réponse ou les contradictions apparentes ou les approximations évitables, d'où mes questions. C'est aux frontières du connu que je cherche à m'aventurer : c'est le domaine de l'incertain (pas du doute !) conduisant parfois à des convictions nouvelles qui ne sont pas des certitudes. Lorsqu'il y a certitude, l'espérance et la foi deviennent inutiles …
Pour ce qui est jugé acquis, il arrive que je m'oblige à y croire … jusqu'à preuve du contraire. La réalité est suffisamment merveilleuse pour qu'il ne soit pas nécessaire d'y rajouter de la féérie.